THE FAULT IN THE MOON
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 (baptré) save me from the dark.

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AuteurMessage
André Cabanel
André Cabanel
PSEUDO : caius/nico.
AVATAR : sam way.
MESSAGES : 254
CREDITS : caius, me (avatar) anaëlle (signa).
ARRIVEE : 01/09/2015
ÂGE : vingt-trois années de scarifications, âge proche de la fin malgré sa jeunesse.
SANG : presque bleu, le sang royal, la pureté des sorciers français, la famille ayant honte de son enfant à cause de la religion régnant dans leurs cœurs qu'ils disent totalement purs.
COEUR : déglingué, explosé, éclaté, écorché vif, cœur inexistant et roué de coups. pourtant, il pulse, légèrement, il commence à se réveiller.
EMPLOI : avant c'était les jambes écartées, désormais c'est fluctuant, métiers peu payés et dégradants. il économise pour passer ses examens et tenter de devenir auror.

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MessageSujet: (baptré) save me from the dark.   (baptré) save me from the dark. EmptyDim 6 Sep - 15:58

save me from the dark
andré cabanel && baptiste lencher

Il n'y a pas de moyen plus efficace de supporter la douleur que la mortification et l'autotorture. La douleur te ronge, te sape et t'engloutit ? Frappe-toi, gifle-toi, fouette-toi jusqu'à ce que tu éprouves des douleurs plus épouvantables. Certes tu ne triompheras pas de cette façon, mais tu la supporteras bien plus qu'en l'acceptant médiocrement. Offre ton corps à la mortification, embrase-le que le feu en sorte, bande tes nerfs et serre les poings comme pour tout casser, comme pour embrasser le soleil et repousser les étoiles. Il sait pourtant que ce n'est qu'une idiotie, qu'il le fait à chaque fois et que pourtant il n'y parvient pas, ce n'est qu'une fois de plus parmi tant d'autres. De nouvelles zébrures, de nouvelles marques, et même si certaines s'effacent grâce à la magie et aux potions, mais d'autres restent, comme celles que il s'est infligées à l'aide de ce couteau gorgé de magie noire qu'il a lui-même ensorcelé. Période sombre de sa vie, où il n'était plus maître de son âme et de son corps, où tous ses actes n'étaient dictés que par la soif de destruction et de mort. Plus jamais il n'a été le même suite à cet événement. C'était l'époque où il était plus bas que terre, où le caniveau devenait son seul ami, où la drogue et l'alcool n'étaient que des moyens de perdre contact avec la réalité. De devenir l'ombre qu'il a toujours été alors qu'il n'était pas encore en âge de sortir de chez lui et de s'assumer pleinement.
Presque totalement nu, André s'engouffre à travers la porte de la cuisine, seulement vêtu d'un débardeur à la base gris mais tâché de sang depuis les innombrables fois où il a attenté à sa vie et d'un caleçon un peu trop grand pour lui, n'ayant pas les moyens d'en acheter des mieux, et pas le temps de lancer un sortilège de réduction pour qu'il soit à sa taille. Alors que ses pas le dirigent vers le tiroir interdit, il l'ouvre lentement, admirant l'éclat métallique qui s'en échappe. Posant la pulpe de tes doigts sur le tranchant des armes et en testant l'efficacité, les préquelles des gémissements de douleur qu'il va pousser sont un pur délice à ses oreilles habituées à les ouïr.
Fumer.
Avant tout cela, il lui faut une cigarette, sentir le goût du tabac envahir les poumons et détendre ses nerfs endurcis par la dureté des jours passés. Un manque presque indéfectible qui mine le moral et qui brise les barrières mentales difficilement montées ces derniers temps. Les doigts et les pieds trouvant le chemin vers le paquet, la flamme apparue au bout de la baguette magique et la fumée envahissant les poumons, le couteau posé devant le cendrier, il ne reste quasiment plus rien, plus d'espoir, plus d'envie de continuer. La vie est injuste, elle le brise, elle le fait tomber plus bas que n'importe quelle autre personne, mais pourtant il lutte. Croyant pourtant à une fin heureuse, à des jours meilleurs qui pourtant ne viennent pas. Se délectant de ce simple plaisir qu'est la nicotine et des sens exacerbés par ce qui va suivre. Terminant par écraser le mégot dans le cendrier et attrapant la lame posée devant lui, il serre les dents et les poings autour de sa baguette et du manche en bois du couteau en acier inoxydable.
Première entaille tracée sur la cuisse, le sang qui coule et qui se perd dans les poils de tes jambes, grimace de douleur et sensation de libération. La tête rejetée en arrière et yeux fermes, sourire d'extase se figeant sur le visage. Pointant la baguette sur la blessure : « Amplificatum. » Un fin rayon de lumière s'échappe du bout et agrandissant la plaie. Là, un cri s'échappe. Laissant le sang couler et s'étaler sur le carrelage et pointant la baguette sur l'autre cuisse, cette fois-ci, c'est un sortilège que tu lances. « Diffindo... » Un puissant cri sort de ta gorge, laissant la douleur envahir ton corps et lançant une puissance dans l'enveloppe charnelle. Mais il n'en a pas assez, jamais. Le couteau vient élargir l’œuvre du sortilège, et c'est tellement qu'il finit par tomber au sol, se tordant de douleur.
Baignant dans le sang, et le corps secoué de convulsions, le pauvre Cabanel agonise, mais il aime ça, il aime se sentir vivant par la douleur. Il aime ressentir de telles choses, sentir le fil de sa vie qui s'échappe d'entre ses doigts. Elle l'abandonne petit à petit, mais passez pour que cela ne puisse devenir fatal, ce sera la véritable fin, se laisser périr sans pour autant attenter directement à sa vie. C'est ça le plaisir suprême pour André, il veut se sentir ainsi, il veut avoir mal, il veut qu'on lui fasse du mal, et malgré tout ce que tout le monde peut faire pour l'aider, rien ne fonctionne. Tu as toujours cette envie dévorante de te faire ces multiples tentatives de suicide.

✻✻✻
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administrateur
Baptiste Lechner
Baptiste Lechner
PSEUDO : seconds.
AVATAR : ash stymest.
MESSAGES : 278
CREDITS : star cluster/sign.
ARRIVEE : 27/07/2015
ÂGE : vingt cinq ans d'une vie sans avenir. en fait si, un avenir certain. un avenir que connaît très bien baptiste, malgré tout un avenir triste.
SANG : pur comme la braise. pur comme le charbon. pur comme le feu. pur mais pourtant impur.
DON : métamorphomage.
COEUR : il a plein de doute sur son âme soeur. c'est un homme ? c'est une femme ? il se pose beaucoup de questions qui restent actuellement sans réponses.
EMPLOI : directeur de la gazette du merlinois.

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MessageSujet: Re: (baptré) save me from the dark.   (baptré) save me from the dark. EmptyMar 15 Sep - 14:17


save me from the dark.
(andriste) ▽ Se mutiler est un acte lâche comme le suicide, mais certaines personnes ne peuvent s'en empêcher.  
Un cadavre... Deux cadavres... Trois cadavres... C'est ce que voyait Baptiste. Il y en avait des centaines, et lui était placé au milieu de ceux-là. Des centaines de corps. Des centaines d'humains qui ne voulaient pas ça. Il regarda sa main, qui était en sang et qui tenait un couteau qu'il fit tomber par terre par geste de peur. Non, ça ne pouvait pas être lui. Ses vêtements étaient remplis de sang. Il se prenait pour l'assassin de l'histoire, jusqu'au moment où il vit un chasseur, un fusil à la main, qui se mit à courir lorsqu'il remarqua que Baptiste l'avait vu. Sans réfléchir, le loup-garou le suivit et vit une énorme lueur noire qui s'approcha de plus en plus de lui. À moins que ce soit l'inverse. À moins que ce soit Lechner qui s'approchait de plus en plus de cette lueur. L'inconnu y entra, alors son suiveur fit de même. Les deux rentrèrent directement dans une forêt. Une forêt sombre. Les feuilles étaient noires, les troncs aussi. On y voyait presque plus rien, mais assez pour remarquer qu'André Cabanel se trouvait devant lui, attaché à une corde où il fit une tentative de suicide en essayant de pousser le tabouret qui le retenait, et c'est le chasseur qui le fit par un coup de pied, laissant mourir le très grand ami du tatoué. Baptiste fut tout de suite réveillé, en sursaut, et remarqua vite que tout ça n'était qu'un rêve. Il avait été très perturbé par celui-ci et remarqua que des larmes coulaient sur sa joue. Il se mit coucher et pensa directement à son ami, André. Il avait fait de multiples tentatives de suicide mais essayait peu à peu à ne plus en faire pour pouvoir enfin profiter de la vie à pleine dent. Il était jeune, et s'il mourrait à l'âge là ce serait une énorme connerie. Si la vie nous a été offerte, il fallait en profiter, parce qu'elle nous a pas été offerte pour rien. Il y a quelques mois de ce moment-là, Baptiste et André partageait une maison. C'était de très grands amis tous les deux, ils partageaient tout ensemble dès qu'il le pouvait, discutaient souvent de tout et de rien. Mais il est arrivé un moment où André a voulu prendre son envol, laissant alors Baptiste seul dans la propriété de sa mère. Ils ne s'étaient pas perdus de vue, ils se voyaient fréquemment, mais ils ne se voyaient plus comme avant, ce qui manquait beaucoup au loup-garou. Il s'était attaché au sorcier, ils étaient devenus plus qu'amis. C'était des frères de cœur.
Baptiste avait une envie soudaine d'aller voir son ami. Ce rêve qui s'était passé en pleine après-midi alors que le loup-garou s'était endormi sur son canapé avait peut-être un but utile ; celui d'aller passer du temps avec son ami ? Il se prépara, mettant un t-shirt noir assez stylé et un pantalon noir. Le tout allait bien ensemble, et c'était une des tenues préférées du directeur. Il se rendit ensuite chez le sorcier à pied. Cela lui prit à peine quelques minutes ; la rue Edgar Lepreux - créateur de cette belle ville qu'est Saint-Merlin - et l'Allée des sapins n'étaient pas tellement éloignées pour le plus grand bonheur des deux amis. Il marcha d'un pas rapide, pour venir ensuite frapper à la porte du Cabanel. Il attendit quelques secondes, une trentaine, et personne ne vint répondre. Il retoqua et aucune réponse arriva aux oreilles de Baptiste. Voilà maintenant qu'il semblait avoir entendu un cri provenant de la maison. Et si André recommença ses conneries ? Et si ce rêve était une prédiction ? Baptiste défonça tant bien que mal la porte, pour ensuite courir dans toutes les pièces - heureusement qu'il y en avait peu et qu'André habitait dans un studio sinon cela allait devenir vite fatiguant - et le trouva dans la cuisine habillé d'un débardeur tâché de sang et d'un caleçon qui n'est d'après ce qu'à pu voir le loup-garou pas à sa taille. Il avait des entailles énormes sur son corps, et il tenait un couteau à sa main. Il avait recommencé. Baptiste fut très inquiet, il ne savait absolument pas quoi faire. Il sortit sa baguette de son pantalon et lança « Vulnera Sanentur » pour sa toute première fois. Il n'en avait jamais eu l'occasion - si s'en est une -. Le flux du sang diminuait, ce qui était un bon signe. Il relança ce sort pour une seconde fois et on pouvait voir que les plaies se refermaient, et pour la troisième fois pratiquement toutes les cicatrices visibles du corps de l'ami du loup-garou ne se voyait plus. Baptiste voulait maintenant des explications. Beaucoup d'explications. Il était encore sur le choc, il était choqué d'avoir vu ça mais il était fier de lui d'avoir pu le sauver. Il avait bien fait d'apprendre les sorts de secourisme. « Bon, maintenant que tu es sain et sauf, tu vas pouvoir me dire pourquoi tu as fait ça ? Va vraiment falloir que tu stoppes ça André, parce qu'un moment quand je ne serai pas là tu vas finir tes jours comme ça. C'est ça que tu veux alors que tu as fait seulement un quart de ta vie ? Franchement, c'est stupide, heureusement que... que... » Boulette, énorme boulette. Fallait qu'il se rattrape, voyons réfléchit Baptiste, t'as bien un mensonge à lui dire qui pourrait fonctionner et vu dans l'état qu'il est il va pas passer une heure à se demander si ce que tu as dit c'est faux ou non. Quelques secondes après, il reprit la parole, en espérant qu'André n'ait rien aperçu. « Heureusement que j'ai entendu un cri de ta part qui m'a prévenu. » Très bonne idée ! Le sorcier n'y verrait que du feu.
(c) AMIANTE


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André Cabanel
André Cabanel
PSEUDO : caius/nico.
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CREDITS : caius, me (avatar) anaëlle (signa).
ARRIVEE : 01/09/2015
ÂGE : vingt-trois années de scarifications, âge proche de la fin malgré sa jeunesse.
SANG : presque bleu, le sang royal, la pureté des sorciers français, la famille ayant honte de son enfant à cause de la religion régnant dans leurs cœurs qu'ils disent totalement purs.
COEUR : déglingué, explosé, éclaté, écorché vif, cœur inexistant et roué de coups. pourtant, il pulse, légèrement, il commence à se réveiller.
EMPLOI : avant c'était les jambes écartées, désormais c'est fluctuant, métiers peu payés et dégradants. il économise pour passer ses examens et tenter de devenir auror.

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MessageSujet: Re: (baptré) save me from the dark.   (baptré) save me from the dark. EmptyMer 16 Sep - 11:34

save me from the dark
andré cabanel && baptiste lencher

La peur est souvent ressentie comme une émotion négative ou péjorative car considérée comme une faiblesse. Pourtant, cette sensation fait partie des mécanismes complexes qui entrent en action dans notre organisme lorsqu’il est menacé par un danger. Comme pour tout ce que nous ressentons, une succession de processus neurologiques et chimique est à l’œuvre. Selon une moldue médecin : « La peur est l’attente ou l’anticipation d’une possible blessure. Nous savons que le corps est extrêmement sensible à la possibilité d’une menace et il existe ainsi de multiples voies qui achemine l’information de la peur dans le cerveau. » Savez-vous que les organes de la peur sont les amygdales ? C'est là qu'un neurotransmetteur nommé glutamate déclenche de multiples réactions dans la substance grise périaqueducale qui est une petite glande située dans le centre de votre cerveau. A partir de là, le cerveau doit prendre une décision face à cette peur que l'on a : rester immobile, fuir, ou agir pour la contrer. Entre temps, le message nerveux atteint l’hypothalamus qui contrôle le système nerveux, c'est lui qui met en marche l'adrénaline qui à son tour accélère le rythme cardiaque, la pression sanguine et le rythme respiratoire. Tout cela pour dire qu'au final la peur n'est pas qu'un simple sentiment, c'est tout un procédé chimique et neurologique qui se déroule à l'intérieur du cerveau, elle est incontrôlable et tout le monde a peur de quelque chose. C'est un fait obligatoire pour chaque individu. Celui qui dit qu'il n'a peur de rien est entrain de vous mentir, tout le monde a forcément peur.
André, lui, il a peur de la vie, il a peur de cette sensation de toute puissance qui pulse dans ses veines et dans son corps. Il n'aime pas cela. Alors pour contrer cette sensation, il tente par tous les moyens possibles et imaginables de se faire du mal, de se rapprocher de la mort pour qu'elle prenne le dessus. Il y parvient, mais ce n'est que fugace, car il ne veut pas totalement mourir, il aimerait simplement... être comme un mort vivant, un genre de monstre qui est décédé à l'intérieur, mais qui à l'extérieur continu de vivre tant bien que mal. C'est pour ça, que les jambes ensanglantées, le couteau à la main et la baguette dans l'autre, un sourire de pure extase illumine son visage d'une béatitude sans égale. Il est enfin heureux, malgré la douleur qu'il ressent. Il a l'impression de vivre, d'être enfin ce qu'il a toujours dû être. Un pantin recouvert de sang, et les prémices de sa vie s'échappant de son corps blême et couvert de cicatrices. Mais alors qu'il goûte à cette douleur fugace et jouissive. Un gros bruit mat retentit dans le studio. La porte qui sort de ses gonds et la présence de quelqu'un qu'il ne peut encore voir. Puis lorsque la personne arrive dans la pièce et voit l'état dans lequel il se trouve, il sait très bien que ça va mal se passer. Qu'il va se faire réprimander. Son frère de cœur n'a jamais accepté. Réfutant toujours plus la sombre vérité. André est atteint de folie, mais personne ne le voit, personne ne le sait, surtout pas André d'ailleurs. Baptiste de précipite auprès de lui et sort sa baguette, prononçant pour la première fois, les paroles d'un sortilège de guérison complexe, si au départ cela ne fonctionne pas bien, les plaies finissent par se refermer. Et il se demande pourquoi il fait ça ? Pourquoi il ne le laisse par mourir, il ne fait de mal à personne à ce qu'il sache, à part à lui-même. « Bon, maintenant que tu es sain et sauf, tu vas pouvoir me dire pourquoi tu as fait ça ? Va vraiment falloir que tu stoppes ça André, parce qu'un moment quand je ne serai pas là tu vas finir tes jours comme ça. C'est ça que tu veux alors que tu as fait seulement un quart de ta vie ? Franchement, c'est stupide, heureusement que... que... Heureusement que j'ai entendu un cri de ta part qui m'a prévenu. » S'il n'y avait pas eu cette hésitation fugace, André aurait été persuadé qu'il ne s'en fait que parce qu'il est attaché à lui, mais cette hésitation même si minime soulève des questions, mais il n'est pas prêt, il ne veut pas parler de cela.
André tente de marcher, mais rapidement, il se rend compte que si les plaies ont été refermées, ses jambes ne le portent plus. Alors il se vautre à terre. S'étalant dans les quelques miasmes de sang qui restent et qui n'ont pas réintégré son corps lors du sortilège. Alors qu'il est au sol et que des étoiles dansent devant ses yeux, le petit Cabanel serre les dents et tente de se relever, en vain. Alors il ouvre la bouche pour parler. « Tu veux que je te dise quoi ? Que j'aime la vie alors que c'est faux ? Que je regrette alors que je ne le pense pas ? » Ainsi au sol, le t-shirt sale et le caleçon trop grand, laissant apercevoir une partie minime de son anatomie, il reste étendu, comme une loque, ce qu'il est de toute manière. « J'ai juste envie de... de... je ne sais pas en fait... » C'est ça le pire. Il ne sait pas e qu'il veut, il ne sait pas s'il veut mourir, ou s'il veut vivre. Il ne sait pas ce qui est mieux pour son équilibre mental. Et c'est ça qui le brise au fond. Cette incertitude dévorante.

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